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pendant tout le mois de décembre 2008

 

 

PRANAM
Les musiciens de « PRANAM » sont réunis autour des luths de Anello Capuano et des cornemuses de
Eric Montbel. Le premier joue du Oud, du Saz, du Sarod, du Robab et autres Guembris qu'il a étudiés au contact des maîtres dans chacun des pays où il a séjourné: Inde, Afghanistan, Turquie ou Maroc. Le second a promenéses cornemuses françaises un peu partout, du Mexique aux USA en passant par l'Inde et l'Europe entière.


"Le mot " PRANAM " en sanscrit, désigne à la fois le « respect » et la « dévotion ».

Les musiciens du groupe PRANAM ont en commun le respect de la valeur, de la force et de l'impact des musiques traditionnelles, ainsi que de l' expression artistique individuelle de toutes les cultures de la planète. Ils partagent aussi cette dévotion pour l'improvisation modale et l'amour des sons.
La musique de Pranam est une suite de mélodies et de rythmes composés et/ou improvisés qui, bien qu'en s'appuyant sur des solides connaissances et se nourrissant de souvenirs et d'impressions de voyages, ne se contente pas simplement d'évoquer : à travers l'émotion, elle provoque la danse, le rêve, la joie ou la nostalgie, la complexité ou l'évidence.
Pour ce projet, il nous fallait des complices préparés à ces jeux subtils de modes et de rythmes. Les percussionnistes de très haut niveau que sont Irshad Hussein Khan (Tablas, Gatam) et Keyvan Chemirani (Zarb, Daf) apportent à cette aventure les couleurs, la virtuosité et la précision nécessaires. Michel Guay, chanteur de Khyal (chant classique de l'Inde du Nord) et joueur de sitar indien, apporte à l'ensemble ses touches mélodiques sinueuses et ses sonorités acides. Le support harmonique est fourni de manière subtile par les multiples harpes de Françoise Johannel.
Nous sommes tous des êtres transculturels, porteurs d'identités multiples, accumulées dans le temps, l'espace et les parcours individuels, depuis l'enfance. Quelle utopie frénétique que de prétendre déchiffrer cela… Quant aux métissages musicaux, ils existent depuis fort longtemps, conscients ou non, eux aussi entrepris par des hommes complexes. Pranam n'en est qu'une version particulière, un peu provocante, mais qui fut finalement assez simple à réaliser, tant la notion de musique transcende radicalement toute idée de lieu d'origine.

Dédié à la mémoire de Irshad Hussein Khan